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Ce film, inspiré d’un atroce fait divers de lapidation d’un couple non marié en 2012 au nord du Mali, est un cri d’alarme et de révolte poussé par un des meilleurs réalisateurs africains.
Formidable réquisitoire contre l’intégrisme (musulman) et l’oppression qu’il provoque sur les populations auxquelles il s’impose (par les armes).
Plus que la seule liberté d'expression, les terroristes menacent toutes nos libertés individuelles et collectives. Voilà bien pourquoi il ne faut leur céder en rien.
« Vous êtes le sel de la terre » (Matthieu -5, 13), dit le Christ, s’adressant à ses disciples. La référence à l’humain parcourt tout le film.
Le film fait débat. Les milieux catholiques rejettent ce monde ultraréactionnaire, qui tourne le dos à l’esprit du Concile Vatican II. Les milieux protestants ne se sentent pas à l’aise avec la question de la sainteté. Va-t-on pour autant entrer dans un débat théologique ?
Un film très lourd qui me deçoit après son premier film si prometteur," Renn, wenn Du kannst".
Trois jeunes rêvent de quitter le Guatemala pour rejoindre Los Angeles. On a déjà vu de nombreux films autour de ce thème, des Sud-Américains voulant rejoindre les Etats-Unis perçus comme un paradis.
Ce film a toute sa place dans les productions récentes sur le sujet des « Frontières ». Rêves d'or est avare de mots.
Guillaume Gallienne, c’est tout à la fois un homme de 41 ans, le 513ème sociétaire de la Comédie française, un animateur de radio, un grand acteur, et un petit garçon… ou …une petite fille qui se raconte.