Dans un festival de cinéma, les séries apparaissent comme un corps étranger, comme des extraterrestres issus du monde banal de la télévision. Pourtant, ces dernières années, la perception et l'appréciation des séries ont radicalement changé. Cette année, Venise a tenté l'expérience de placer quatre soi-disant mini-séries dans le programme officiel.
Ce film a quelque chose d’un millefeuille.
La famille Nomomiya est une réussite
Le style particulier de Farhadi est d’approfondir une série de personnages qui se débattent dans la complexité de leurs relations.
Il convient de se référer au contexte italien et à sa législation concernant l’euthanasie pour analyser ce film.
On ne fait pas dilemme plus cornélien.
La 27e édition du Festival International de Films de Fribourg a démarré le 16 mars, avec une sélection
éclectique et intéressante.
Le personnage de Gloria, incarné de façon remarquable par Paulina Garcia, habite le film du début à la fin, littéralement de la première à la dernière image, et loin de lasser, le fait vivre intensément.
Gloria est une femme déjà mûre, grand-mère même, qui déborde d’énergie et de joie de vivre. Seule après un divorce, elle aime aller danser, s’amuser. Avec Rodolfo, plus âgé qu’elle et récemment divorcé, c’est le coup de foudre.
L’histoire est à vous crever le cœur, d’autant qu’elle est basée sur des faits réels : une famille pauvre, des Roms en Bosnie-Herzégovine, le père coupe du bois pour le feu et ramasse des ferrailles pour les vendre, la mère pétrit le pain, iles ont deux filles bien remuantes.
Deux articles sur le même film, l'un pour, l'autre contre, sont mis en vis-à-vis

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Jacques Champeaux, membre du jury œcuménique, et Peter Paul Huth rendent compte de la Berlinale 2024.

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