Les reportages de Peter Paul Huth à Cannes se terminent par un regard sur la section « Cannes Classics ».
Au cours du festival, huit films étaient sur notre programme.
La famille Nomomiya est une réussite
Ce film a quelque chose d’un millefeuille.
Le style particulier de Farhadi est d’approfondir une série de personnages qui se débattent dans la complexité de leurs relations.
On ne fait pas dilemme plus cornélien.
Il convient de se référer au contexte italien et à sa législation concernant l’euthanasie pour analyser ce film.
La 27e édition du Festival International de Films de Fribourg a démarré le 16 mars, avec une sélection
éclectique et intéressante.
Gloria est une femme déjà mûre, grand-mère même, qui déborde d’énergie et de joie de vivre. Seule après un divorce, elle aime aller danser, s’amuser. Avec Rodolfo, plus âgé qu’elle et récemment divorcé, c’est le coup de foudre.
Le personnage de Gloria, incarné de façon remarquable par Paulina Garcia, habite le film du début à la fin, littéralement de la première à la dernière image, et loin de lasser, le fait vivre intensément.
L’histoire est à vous crever le cœur, d’autant qu’elle est basée sur des faits réels : une famille pauvre, des Roms en Bosnie-Herzégovine, le père coupe du bois pour le feu et ramasse des ferrailles pour les vendre, la mère pétrit le pain, iles ont deux filles bien remuantes.

Dossier

Jacques Champeaux, membre du jury œcuménique, et Peter Paul Huth rendent compte de la Berlinale 2024.

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