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C’est un film très personnel que le réalisateur a écrit juste après la mort de sa propre mère, comme pour exorciser ses angoisses.
Vincent Lindon, tout en sobriété, incarne un chômeur de longue durée, père d’un adolescent handicapé.
FESTIVAL DE CANNES. Le prix du jury œcuménique pour la 68e édition a consacré le film de Nanni Moretti, Mia Madre. Sa mise en scène sur plusieurs niveaux illustre le parcours complexe d’une femme réalisatrice face à l’acceptation du deuil.
C’est le premier film en compétition que notre jury a visionné et, d’emblée, il nous a séduits et nous est apparu comme un candidat très légitime au Prix. A la fin du festival et après de nombreuses délibérations, nous l’avons retenu sans une hésitation.
A Cannes, un film renvoie souvent à un autre. Ici, le dramatique quasi-documentaire Taklub a le même thème que la comédie du Tout nouveau testament : Dieu se rit des hommes qu’il fait souffrir.
Le film commence par des images d’une extraordinaire beauté. J’aurais tant aimé qu’il continue ainsi.
C’est un film curieux. Visiblement tourné avec des moyens réduits, presque en famille, on pourrait parler d’un ‘peplum en chambre’.
En quelques touches, dans un paysage brûlé par le soleil ou des intérieurs en clair obscur, le réalisateur décrit une vie de Judas éloignée de celle que nous connaissons.
Seit 1995 gibt es den Ökumenischen Empfang der Kirchen, zu dem die örtlichen Kirchen einladen. Bei dieser Gelegenheit stellte der diesjährige Präsident der Ökumenischen Jury, Alain le Goanvic, eine "Kleine Kinotheologie" vor.