Peter Paul Huth

Critique de cinéma
Country of origin: 
Allemagne

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Il y a des cinéphiles qui ont beaucoup voyagé et des festivaliers habituels qui considèrent Bologne comme leur festival préféré. L'atmosphère est détendue et démocratique, il n'y a pas de zone VIP, pas de stars qui doivent être protégées du commun des mortels. Les participants viennent de 70 pays, comme on le note fièrement. Rapport final de Peter Paul Huth.
Lorsque l'on voit des classiques du cinéma sur grand écran, on réalise que le cinéma est une machine à remonter le temps, un lieu de mémoire historique. Un média qui rend le passé visible à travers le regard subjectif des personnes impliquées dans le film, car le cinéma est toujours une forme d'art collective. Suite du rapport de Peter Paul Huth.
Peter Paul Huth rend compte du festival du film de Bologne consacré à l'histoire du cinéma. L'édition 2024 du festival a mis l'accent sur les films de Marlene Dietrich.
2024 a été l'année des femmes à Cannes, ce qui s'est manifestement traduit dans les prix. La Palme d'or a été attribuée à un homme, l'Américain Sean Baker, mais son film « Anora » a pour protagoniste une femme combative, interprétée par Mikey Madsen. Dans son discours de remerciement, Baker a dédié le prix à toutes les femmes travailleuses du sexe.
Cannes avait réservé un point politique fort pour la finale, le film « The Seed of the Sacred Fig » (La graine du figuier sacré) de Mohammad Rasoulof. Dans les conditions de la censure iranienne, le film de Rasoulof ressemble à un projet suicidaire.
Le Festival de Cannes touche à sa fin et les spéculations vont bon train quant à savoir qui pourrait remporter la Palme d'or cette année. Le New York Times place en tête deux films qui sont partout considérés comme favoris. Un bilan provisoire.
A Cannes, on aime les grands noms du cinéma d'auteur international et on les invite volontiers à participer à la compétition - cette année, entre autres, Paul Schrader et Jia Zhang-ke. Suite de la couverture du festival par Peter Paul Huth.
Le cinéma est peut-être le lieu idéal pour mettre en image les questions d'identité fluide. Dans les débats actuels, la sensibilité linguistique aux identités particulières est revendiquée sous l'étiquette 'langage adapté au genre'. D'autre part, la 'modernité liquide' (Zygmunt Bauman) abolit les frontières entre les sexes.
Dans sa chronique de Cannes, Peter Paul Huth s'intéresse à "Anora" de Sean Baker et à "Limonov : The Ballad" de Kirill Serebrennikov.
Dans sa couverture du Festival de Cannes 2024, Peter Paul Huth se penche sur les films de George Miller, Francis Ford Coppola et Ali Abbasi.

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01/09/2021 - 11/09/2021
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