© Thierry Valletoux
Trois cœur: Charlotte Gainsbourg, Benoît Poelvoorde
Malgré le difficultés actuelles, le Festival international du Film Molodist a bien lieu cette année à Kiev. Il a été ouvert le 25 octobre par le film „Trois cœur“ de Benoît Jacquot (Hors compétition). 12 contributions ont fait partie de la compétition internationale des longs métrage, 25 de la compétition internationale des courts métrages et 27 de la compétition internationale des courts métrages d'étudiants. Une particularité du festival: la compétition "Sunny Bunny" avec des films LGBT.
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Prix du jury œcuménique
Le film est inspiré d'une histoire réelle. Il raconte le combat entre une avocate engagée qui défend la liberté et les droits d'une fille kidnappée et violée contre les m&œlig;urs traditionnelles. Le film joue en Ethiopie en 1996 dans une société où l'injustice est devenue la règle. Il s'agit d'un film sur le courage de s'opposer à la violence et à l'injustice sociale.
Le film est humainement très touchant. Il traite de la problématique du vieillissement et des émotions, des besoins et des désirs de personnes âgées. Il trace le portrait de la relation entre une fille adulte et sa mère vieillissant, marqué par l'amour et le respect.
Le film raconte l'histoire d'une jeune Juive qui, lors d'une crise existentielle, quitte l'Allemagne où elle a fait ses études, pour retourner en Israël auprès de sa famille. Il met en scène une image positive de la famille, capable de prodiguer consolation et soutien. Le film délivre un message claire: surmonter des fractures sociales et historiques, comme celles entre Juifs et Allemands, est un processus long et difficile qui peut durer des générations, mais c'est possible.
Le jury, nommé par INTERFILM et SIGNIS, est composé de trois membres et décerne ses prix dans la compétition internationale des longs métrages et la compétition internationale des premiers courts métrages professionels.
